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Contribuer aux commentaires Ce que Eugene Stiedemann aime dans La Deuche :
Il s'agit davantage d'une cantine que d'un restaurant. L'endroit est délabré et vous ramène aux années 60, lorsque la 2CV était la reine des voitures en France. Le bar est tenu par des habitués qui boivent des vins locaux. Il y a deux salles à manger, la première était remplie de travailleurs et de soldats de la caserne de pompiers voisine. L'autre, où nous nous sommes assis, comptait quelques habitants et touristes... Voir tous les avis.
Ce que Eugène Sanchez n'aime pas dans La Deuche :
De passage à Lempdes, arrêt pour manger n'importe quoi de rapide. De ce côté là, le contrat est rempli, mais pas plus.Le thème déco "2 CV" au bar, c'est du commercial, eu égard à Pierre Boulanger, père de la 2 CV qui a vécu à Lempdes et qui y est enterré. Sinon rien de deuchiste derrière.Accueil moyen et service parfois un peu "speed". Salle bien triste avec ses infiltrations d'eau sur le grand mur du fond digne d'un... Voir tous les avis.
C'est plus une cantine qu'un restaurant. L'endroit est délabré et vous ramène aux années 60 lorsque la 2CV était la reine des voitures en France. Le bar est tenu par des habitués qui prennent un verre de vins locaux. Il y a deux salles à manger, la première était remplie de travailleurs et de soldats de la caserne de pompiers voisine. L'autre où nous nous sommes assis avait quelques habitants et touristes comme nous. Le menu à 16 euros 80 propose 4 plats avec un verre de vin et est d'un excellent rapport qualité-prix. Il y a d'autres plats à la carte qui valent la peine d'être essayés, notamment les plats locaux. Ça vaut le détour.
Ce restaurant offre un menu à 18 euros dans un buron aménagé à la foire de Brion près de Compains (63). C'est un excellent repas typiquement auvergnat que nous avons apprécié.
Il s'agit davantage d'une cantine que d'un restaurant. L'endroit est délabré et vous ramène aux années 60, lorsque la 2CV était la reine des voitures en France. Le bar est tenu par des habitués qui boivent des vins locaux. Il y a deux salles à manger, la première était remplie de travailleurs et de soldats de la caserne de pompiers voisine. L'autre, où nous nous sommes assis, comptait quelques habitants et touristes comme nous. Le menu à 16 euros 80 propose 4 plats avec un verre de vin et est d'un excellent rapport qualité-prix. Il y a également d'autres plats à la carte qui valent la peine d'être essayés, surtout les plats locaux. Ça vaut le détour.
Venus manger entre amis, le menu est plutôt sympa, mais le décor n'est pas là : deux grandes salles assez froides, comme on n'en fait plus actuellement, et le bar toujours encombré de buveurs assez bruyants...
De passage à Lempdes, arrêt pour manger n'importe quoi de rapide. De ce côté là, le contrat est rempli, mais pas plus.Le thème déco "2 CV" au bar, c'est du commercial, eu égard à Pierre Boulanger, père de la 2 CV qui a vécu à Lempdes et qui y est enterré. Sinon rien de deuchiste derrière.Accueil moyen et service parfois un peu "speed". Salle bien triste avec ses infiltrations d'eau sur le grand mur du fond digne d'un self administratif. Le buffet des entrées n'a rien de transcendant et les lentilles du plat du jour fleuraient bon l'industriel. Le "gâteau de semoule" (tu parles) ne ressemble à rien (deux minuscules morceaux qui se battent en duel). Bon tout ça pour 16,90 euros, café et beaujolais infâme compris, pour cette cantine très moyenne.